Interrompre la journée par une pause-café ... voilà une habitude à laquelle personne ne saurait renoncer... C'est encore plus agréable et plus pratique si l'on dispose d'un petit terrier douillé celui du LAPIN BLANC.

Nouvelles, un poèmes, un extraits de livres, créations personnelles ou Bric & Brac, petits trucs qu'on peut trouver un peu partout sur le Oueb ou entendre dans la vie de tous les jours.

Je reste à votre écoute pour vos demandes, corrections, recommandations ou commentaires .

Avec le LAPIN BLANC laissez vous bercer et voyagez le temps d'un clique à travers les délires les plus farfelus mon cerveau rêveur.

Je vous souhaite une agréable lecture.

Perdre son âme sœur

Tu sais ce que c'est d'être amoureux? 

J'te parle du grand amour; 

celui qui t'fais chialer en pleins milieu de la nuit; 

celui qui te donne envie de te barrer et de jamais revenir; 

celui qui te rongera tout au long de ta vie jusqu'à que tu pousses ton dernier souffle; 

celui que t'es incapable d'oublier parce qu'il est ancré à jamais au fond de ton âme.

Compersion



La compersion est un terme désignant un état empathique de bonheur et de joie expérimentés lorsqu'une autre personne que soi vit ces sensations, en particulier pour décrire les sentiments positifs qu'une personne éprouve quand un amant connait une autre relation, par opposition à la jalousie.

 L'adjectif lié est « compersif ».



La compersion peut être rapprochée à la définition que donne Spinoza dans l'Éthique pour l'essence du sentiment miséricordieux identifiable par la fierté dans les réalisations de ses enfants ou dans l'excitation de la réussite d'un de ses amis, de ses parents, ou encore d'autres proches. Elle peut également être rapprochée du concept bouddhiste de Muditā.

Muditā (Pāli et Sanskrit: मुदिता) signifie la joie dans la philosophie bouddhiste ainsi que dans la philosophie hindoue. C'est plus précisément une joie sympathique, une joie bienveillante et altruiste qui se réjouit du bonheur et des succès des autres. C'est une joie sacrée qui trouve son délice dans le bien-être de son prochain plutôt que de nourrir des pensées envieuses et jalouses à son égard. On donne traditionnellement l'exemple des parents qui se réjouissent des progrès et du bonheur de leur petit enfants pour illustrer ce qu'est Muditā.


Le concept du comportement compersif est très répandu chez les polyamoureux.


Un individu peut chercher sa compersion dans la jalousie même : « Voir à l'intérieur d'un épisode de jalousie un noyau de feu de passion érotique. Cela peut vous surprendre de vous sentir aussi bien, et si vous y arrivez, vous pouvez être sûr que vous faites un pas droit dans la compersion ». Cela est toutefois à différencier de l'aspect candauliste qui souligne uniquement une attirance ou une passion focalisées sur la sexualité.


La compersion peut être définit comme « un sentiment de joie quand un proche s'investit et prend plaisir avec une autre relation amoureuse ou sexuelle... La compersion ne se réfère pas spécifiquement à la joie inhérente à l'activité sexuelle de leur partenaire, mais renvoie plutôt à la joie d'une relation avec un autre de ses partenaires romantiques et/ou sexuels. C'est analogue à la joie que ressentent les parents quand leurs enfants se marient, ou au bonheur ressenti entre les meilleurs amis quand ils trouvent un partenaire »

Serena Anderlini-D'Onofrio écrit que compersion est, en partie, « la capacité de transformer les sentiments négatifs de la jalousie en acceptation de, et la jouissance du fait d'autrui pour, la joie d'un amant »




Les filles hérisson



Ce sont des filles jolies et mignonnes, belles, adorables, attachantes, mais qui dès que tu leur montres

et leur dit que tu es attaché à elles, que tu tombes amoureux voire que tu les aimes,

dressent leurs épines tel un hérisson en panique, te piquent et puis s'enfuient à toute vitesse.



J'en ai connu pas mal, à croire qu'il y en a beaucoup ou alors je n'ai pas eu de chance de tomber souvent

sur ce genre de fille. Et c'est curieux ce phénomène de la fille hérisson, parce que très souvent

ce sont des filles en mal d'amour et d'affection, en manque d'attention, qui se plaignent de leur sort,

de ne pas être aimées à leur juste valeur, pour se qu'elles sont.

Des filles qui se plaignent des mauvais garçons, de la souffrance qu'ils leur font subir.




C'est vraiment curieux, énigmatique ces filles hérisson.




Qui se braquent, blessent et puis fuient celui qui leur donne ce dont elles rêves :

de l'amour vrai ! Et le pire c'est que souvent elles s'attachent aux mauvais garçons,

elles en tombent “amoureuses”, elles se jettent dans leurs bras, jouent leur macabre

jeu de manipulation, rentrent leurs épines et se laissent complètement malmener,

elles se mettent dans une position de vulnérabilité. Comme si ces filles voulaient s'auto-détruire,

se faire du mal. Comme si elles pensaient ne mériter que ça. Et ne pas mériter l'amour,

être respectées, protégées, qu'on se soucient d'elles, etc.
..


C'est vraiment un phénomène paradoxal des plus incompréhensible : les filles hérisson.